Le redéploiement spatial et la réorganisation des services publics se sont effectués sans vision d’ensemble, sans connaître les réalités (géographiques, sociales, économiques) propres aux territoires concernés.
Le processus est avant tout guidé par des instruments d’inspiration managériale qui répondent au souci de rationaliser l’argent investi, en apportant une meilleure qualité de service, au meilleur coût. Si les objectifs poursuivis sont de bon sens et se justifient d’autant plus facilement en période de crise, il est difficile d’en mesurer les effets.