-FR-
grande couv
La Préhistoire nouvelle. Tome 13 : L'orchestration
Guy Alexandre Dhorbait
Editeur: JePublie
0,99 €

Acheter ce livre

Il semble invraisemblable, complètement irréaliste, qu'il y ait eu dans le passé une civilisation, une culture humaine supérieure à la nôtre ; et pourtant que de vestiges sur la Terre, qui nous sautent aux yeux, parsemés autant dans les grottes qu'en plein milieu d'une Egypte dotée d'un gros bouton sur le nez appelé pyramide, et il y en a sur toute la planète. À défaut de la reconnaître, on passe sous silence toutes ces réalisations d'un autre âge ou l'on s'acharne à vouloir, comme pour la pyramide de Khéops, la reconstruire avec les méthodes d'aujourd'hui en attribuant à l'auteur un génie hors du commun, mathématique, astronomique, etc. et en le voulant un être humain tout à fait normal.
Dans les douze tomes précédents, j'ai parcouru tous les continents sur Internet, pour y trouver des résultats plus que probants, avec une conclusion inévitable : oui, Platon avait raison, cette civilisation a existé, et elle s'appelle l'Atlantide, contrée mythique que l'on cherche encore avec rage dans tous les endroits impossibles, sauf à sa place en Atlantique... Je n'ai pas cherché à la localiser, encore que... j'ai seulement examiné les conséquences de sa disparition à travers les millénaires qui ont suivi, comme les codex mayas, premiers journaux écrits précolombiens décrivant avec brio les catastrophes. Voici donc un résumé de ce qu'il advint sur la Terre depuis 50 000 ans.
Ce tome dernier s'intitule « L'orchestration » parce qu'il se veut une synthèse améliorée des douze premiers, moins détaillée mais plus affirmée dans les certitudes. Autrement dit, cela signifie que notre préhistoire, notre passé, a une continuité logique, un déroulement chronologique qui n'a jamais été mis au jour par manque de données précises. Tout est lié et le lecteur qui aura parcouru les précédents aura compris bien des choses. Il lui restera à finir un travail personnel pour imaginer ce qui risque de nous arriver à notre tour si nos dirigeants n'ont pas conscience des enjeux. Le parallèle n'en est que plus évident.

G. Dhorbait