JULIEN DUVIVIER LE MAL AIMANT DU CINÉMA FRANÇAIS
Eric Bonnefille
Editeur: Editions L'Harmattan
Dans ce second volume, nous retrouvons d'abord Duvivier en exil à Hollywood de 1940 à 1945. De retour en Europe, il laisse éclater son goût du noir dans Panique, qui marque le début d'une deuxième carrière. Les dernières années ont un goût amer : Duvivier poursuit en vain des projets ambitieux qu'il ne parvient pas à faire aboutir, et doit accepter des films de moindre intérêt. Il meurt en octobre 1967, un mois après l'achèvement de Diaboliquement vôtre.