Jean-Sébastien Bach
Françoise Heyer
Editeur: Editions L'Harmattan
Les "Variations Goldberg" constituent l'un des sommets de la musique pour clavier. L'observation attentive de la partition fait émerger une hypothèse : l'agencement des trente-deux pièces (Aria initiale, trente variations d'une incroyable diversité et parfaitement ordonnées, Aria finale) a un sens, c'est-à-dire une direction et une signification. Mais comment oser prétendre qu'une oeuvre purement instrumentale, sans texte, sans titre orientant vers un contexte, est signifiante ? Et que peut-elle signifier ?