J'ai déchiffré les hiéroglyphes
Kakou Marceau K.
Editeur: Publishroom
Peut-on mettre en lien la langue de l'Egypte ancienne avec une langue encore parlée actuellement ? Se serait-elle transmise de génération en génération ?
Et si la langue des pharaons d’Egypte avait traversé les siècles, et était toujours parlée aujourd’hui ?
Les nouvelles recherches en égyptologie font la part belle à l’anthropologie, ou à la linguistique. Les avancées, souvent méconnues du public, révolutionnent pourtant nos connaissances à propos de cette civilisation qui n’en finit pas de passionner les foules.
Dans cet essai, Kakou Marceau k prouve que la langue des anciens Egyptiens s’est transmise de génération en génération, pour être encore utilisée de nos jours.
Après avoir découvert l’Aibôcôdère des égyptiens de l’Antiquité, qui n’est autre que le substitut de notre abécédaire, avec les sons et les tons correspondants à ces alphabets, tout hiéroglyphe, tout alphabet égyptien énoncé avec l’Aibôcôdère, donne un sens identique en langue Akan/Agni et en toutes langues et dictionnaires égyptiens.
Exemple :
Pr ÂA Faulkner p. 89, Wb. I p. 516, 2-12
Le pharaon, le grand homme ou la grande maison selon la traduction du dictionnaire égyptien.
Aibôcôdère de :
P=Pô
R=èr
Â=èyin
A=Ai
Assemblage des digraphes
Pô+èr+èyin+ai=Pôèr-èyin ai (racine Pkôèr-yin=grand).
Lecture Akan/agnie :
Pkôèr-yin Ai
Traduction Akan/Agni : le grand homme, le pharaon.
La grande maison avec pôyèr.
Pour alimenter et conforter sa théorie, Kakou Marceau ajoute sur le principe de l’exemple ci-dessus, un glossaire de 1000 mots et noms égyptiens déchiffrés et convertis en langue akane dont 500 sont proposés dans ce ouvrage.
Une étude étonnante, appuyée par de nombreuses preuves linguistiques et qui met en lumière un peuple : les Akans/Agnis.
Laissez-vous étonner par cet essai de linguistique et de sociologie épatant, qui fait appel à de nombreuses preuves et met en lumière un peuple méconnu, les Akans/Agnis !
EXTRAIT
Les observations et les informations sont traitées sous l'angle de la sociologie comportementale et de la linguisitique comparée. Notre analyse est alimentée par les hiéroglyphes et les traductions des dictionnaires Faulkner et Gardiner de l'Égypte ancienne. Tout au long de cette passionnante odyssée qui nous entraîne vers les routes du passé antique, de nombreuses questions vont m'orienter vers une curieuse tribu d'Afrique sub-saharienne. Pour mieux m'imprégner donc de l'égyptianité de la tribu ciblée, je me suis à cet effet rendu dans le village d'Aci-Kum, la première année de ces travaux. Une impression baroque soudain me traversa la tête, dès mon arrivée à la vue de ce village. La terre de ce pays valloné est moulée de latérite. Je la découvre pour la première fois et m'aperçois d'emblée, l'évidence de la prédominance de l'ocre rouge qui est partout. Les cases en sont enduites projetant des couleurs vermeilles qui se confondent avec les fresques des travées crayonnées par le ruissellement des eaux. Celles-ci forment les sillons semble-t-il, d'un recoin d'exclusion de mon sentiment troublé par ce petit village. Le petit échantillon d'hommes et de femmes que j'observe éprouve mon appétence.