L’influence de la culture musulmane pour la Chine n’est pas contestable et les connaissances arabes ont grandement influencé la Chine ne serait-ce qu’en matière de technologie, de sciences, de philosophie ou encore d’art. Si pourtant le Coran n’a été traduit en chinois qu’en 1927, la première mosquée en Chine aurait été construite au VIIe siècle sous la dynastie des Tang.
C’est de cette Chine ancienne et de son riche héritage, dont nous parlent avec érudition et clarté les éminents sinologues Henri Cordier et Charles Schefer, comme de ces failles (violence et guerre), exposées dans le troisième article de Camille Imbault-Huart. Avec quelques illustrations et leurs légendes extraites de l'ouvrage de M. Broomhall, Islam in China.
Contenant : Livre 1 L’ISLAM EN CHINE, par Henri CORDIER (1849-1925) – LIVRE 2 LES RELATIONS DES PEUPLES MUSULMANS AVEC LES CHINOIS, depuis l’extension de l’islamisme jusqu’à la fin du XVe siècle, par Charles SCHEFER (1820-1898) – LIVRE 3 DEUX INSURRECTIONS DES MAHOMÉTANS DU KAN-SOU (1648-1783), Récit traduit du chinois, par Camille IMBAULT-HUART (1857-1897)