Récit d'enfance cocasse et cruel, bien fait pour illustrer l'adage selon lequel le ridicule ne tue pas (quoique).
Un livre qui divise la critique (quelques extraits de presse) :
« Ça ne vaut pas Mort à crédit. » (Philippe Sollers)
« Je n’ai rien lu de tel depuis La Recherche de Proust, voire Les Confessions de Rousseau. » (Antoine Compagnon)
« C’est très freudien. » (Elisabeth Roudinesco)
« C’est très particulier. » (Michel Houellebecq)
« Comment peut-on être aussi bête ? » (Frigide Barjot)
« Lalangue n’est efficace que de passer à l’écrit. » (Jacques Lacan)
« C’est encore plus drôle quand on a connu les protagonistes. » (Mme Durand, ex-femme de ménage)
« Celui qui a écrit ce livre est bien à plaindre. » (Arthur C.,collègue)
« Je n’ai pas du tout aimé. Trop c’est trop. Cela tient du règlement de comptes contre soi-même, la famille, le genre humain. Au final personne n’en sort grandi. » (Luc Ferry)
« Cela ne sent pas le règlement de comptes, car le narrateur ne s'épargne pas (il ne vaut pas mieux que les autres, qui ne sont pas pires que lui : tous baignent dans la même lumière idiote, radieuse). » (François Huglo)
« Cet anti-sarkozysme primaire m’indigne et m’exaspère. » (Henri Guaino)
« Ce petit opus devrait bien marcher en librairie. » (Marc Lévy)