Le 26 juillet 1902, une sentence arbitrale rendue amiablement à la Résidence de Tunis, répartissait entre deux particuliers, MM. Bellot et Targe qui se les disputaient, les importants gisements de phosphates de Kalaâ-Djerda.
Aucun des deux n’y avait droit.
Ces gisements sont évalués, selon les uns, à 5 millions, selon d’autres, à 8 et même 10 millions de tonnes de phosphates de chaux à haute teneur.
Il y a acquéreur ferme à 1.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.