CE chapitre, ainsi que le précédent, n’est pas étroitement lié à la question ; mais les corollaires que Lloyd déduit de la nécessité de l’alliance de l’Angleterre avec les autres puissances, nous rapprochent du sujet : l’auteur atteste d’abord « que le nombre des ports fait la puissance de l’Angleterre. » Il observe ensuite « que ce même nombre fournit plus de moyens d’attaque.
Il ajoute un axiome que l’on doit remarquer : parce qu’il est évidemment en contradiction avec les raisonnemens qui sont produits par la suite, pour prouver l’impossibilité de maintenir, sur le territoire de la Grande-Bretagne, les troupes débarquées.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.