On peut ne pas goûter la campagne romaine, mais quand on la comprend on l’adore : l’impérieuse n’admet pas qu’on puisse l’aimer à demi.
Connaissez-vous un endroit plus ardemment désolé que les plaines fiévreuses qui séparent Civita-Vecchia de Rome ?
A deux époques différentes, en mars et en juin, nous avons parcouru ces espaces déserts, ces steppes romaines, bornées par la mer et par les montagnes.
Quitter Rome au mois de juin, c’est partir en plein été.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.