Les organisations sportives, nous dit-on, doivent se professionnaliser pour s'adapter aux transformations de l'environnement socio-économique dans lequel elles évoluent. Parce qu'elles présenteraient une alternative aux carences du marché et de l'Etat, elles doivent innover, produire de nouveaux services, satisfaire de nouveaux usagers, voire créer des emplois. Cette professionalisation constitue-t-elle un processus inéluctable ? Quels sont ses effets sur la structure , la culture et l'identité des organisations sportives ?