En l’absence du colloque international de l’Africa romana, nous pouvons heureusement compter sur des publications très nombreuses. On retrouve, d’une année à l’autre, les mêmes périodes orphelines et les mêmes périodes, sources ou sujets bien pourvus ; on observe aussi un intérêt de plus en plus marqué pour l’époque vandale. Les années ne se ressemblent cependant pas complètement et cette B.A.A.A. est étonnamment pauvre en publications sur les institutions municipales.