Piero della Francesca. Un des plus grands peintres de l’histoire. Un des phares de la renaissance italienne.
Ce roman le met en scène au moment où il apprend qu’il va devenir aveugle. La perte de la vue pour un peintre... La perte de ce qui motive depuis toujours son existence...
Il décide de braver le destin et décrète que sa vie en peinture ne s’arrêtera pas là, qu’il continuera à servir son art. Autrement. En dictant des traités de peinture dans lesquels il est beaucoup question de mathématiques (une discipline qu’il enseigna dans sa jeunesse au fils du duc d’Urbino).
Un roman qui, partant d’un fait réel mais imaginant une grande partie de la suite, constitue aussi une réflexion sur l’art, sur la création artistique, sur les relations (difficiles !) d’un peintre avec le pouvoir politique, en l’occurrence avec le condottiere Malatesta qui régnait alors sur Rimini.