En 1797 un jeune enfant sauvage, vivant depuis sa petite enfance entièrement coupé de tout contact humain, fut confié au Docteur Jean Itard.
Cet enfant ne savait pas parler, mais il ne savait pas non plus marcher comme les hommes. Et si marcher en positon droite sur deux jambes peut nous apparaître entièrement naturel, cet enfant qui marche comme les loups nous montre que même simplement marcher, relève d’un apprentissage, d’une culture ou d’une forme de socialisation.
Le docteur Jean Itard tentera de pallier à toutes ces déficiences au travers d'une démarche éducative qui visera notamment à ouvrir socialement le jeune garçon, alors baptisé Victor.

Contenant : « Mémoire sur les premiers développements de Victor de l’Aveyron (1801) » suivi de « Rapport sur les nouveaux développements de Victor de l’Aveyron (1806) »
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