Grand dramaturge français du XXe siècle, André Obey découvre l’athlétisme au stade de Saint-Cloud, grâce à un ami, en 1913. Coureur amateur de 400 mètres, lui-même, il assiste ébloui aux Jeux Olympiques de Paris en 1924, qui lui inspirent ces chroniques qui créent, avec les écrits sportifs de Montherlant, de Giraudoux et de Jean Prévost, entre autres, un genre tout à fait nouveau pour l’époque et même aujourd’hui où la littérature est relativement peu conviée aux compétitions.