Beaucoup a été dit et écrit sur le métier de DRH et le portrait n’est pas toujours flatteur ni ressemblant. Le métier de DRH intrigue et interpelle tout un chacun. D’abord parce qu’il reste, au fond, relativement méconnu. Parce qu’il est au cœur de l’actualité aussi, que l’on parle de croissance, de recrutement, d’apprentissage, du vivre ensemble dans l’entreprise ou de ces organisations qui se trouvent à la croisée des chemins. C’est un métier en prise directe avec la société et ses évolutions.
Précisément, l’heure est à l’équilibre retrouvé, à la sincérisation des relations, à la réconciliation de l’économique et du social. Parce qu’il n’est plus raisonnable de croire que l’un peut se passer de l’autre.
DRH : trois lettres pour une fonction aux mille facettes. Croyez-nous, aucune ne vous laissera indifférent. Thomas Vilcot et Olivier Lajous, professionnels reconnus, vous en proposent ici une visite guidée et illustrée, faite de rencontres inspirantes.
Une lecture accessible au plus grand nombre, du citoyen légitimement curieux à l’aspirant DRH, du dirigeant à l’entrepreneur. Une aventure au plus près des femmes et des hommes de l’entreprise. Avec eux, pour eux.
Un récit qui fait le choix de rester à l’écart des grandes théories et des fiches pratiques techniques, pour mieux revenir aux fondamentaux d’une entreprise « à hauteur d’homme ».
C’est aussi le pari assumé d’un récit humainement engagé, pour sortir de l’impasse dans laquelle nous nous trouvons. Pour changer de perspective et retrouver les vertus du « vivre ensemble ». Parce que le DRH est un donneur de souffle.
Une prise de conscience nécessaire pour enfin réhabiliter durablement la richesse et la rareté humaines dans l’entreprise… afin que le jour d’après ne soit pas un retour au jour d’avant, en pire !
Parce qu’un clic, une vue, un mail ou un “like” ne feront jamais un lien professionnel sincère ni inspirant… et que l’isolement connecté ne peut tenir lieu plus longtemps de projet collectif pour l’entreprise.
Voici un ouvrage pour retrouver le courage de l’humain. Car même si on ne rattrape jamais le temps perdu, on peut décider de ne plus en perdre !