Sur la situation actuelle, qu’entend-on actuellement ? « De Gaulle n’aurait pas fait mieux. » C’est « le sens de l’Histoire ».
Comment allait réagir Amalric Eulsaur, sept années après avoir vainement souhaité la naissance d’une association nationale dévouée, d’une part à régulièrement demander à l’Etat le point des grandes difficultés de la France, et d’autre part à chercher de nouveaux politiciens présentant des références proches de celles qui semblaient nécessaires à la solution des difficultés ?

Sa première idée est de voir que le referendum est bloqué parce qu’il « hérisse » des gouvernants et que les manifestations courantes de notre Société – rassemblements électoraux, pétitions, débats publics, rubrique des « chats écrasés » des quotidiens – qui se produisent régulièrement pendant le Mandat ne débouchent pas sur des analyses profondes et s’oublient !

A la recherche d’une seconde idée il découvre une Coutume si sacrée qu’on ose à peine en parler tant ce qu’elle renferme est mystérieux : pendant cinq années on va, par la grâce de l’Election présidentielle, confier la France à un être qui n’a jamais fait ses preuves ou si médiocrement.
Il se pose alors la question : pourquoi, en cette période où on interroge les Candidats et les Electeurs, ne chercherait-on pas à savoir quelles sont les idées des Candidats sur les problèmes les plus graves ?