« Délicatement, avec une infinie tendresse, Georgette LeBlanc évoque à demi-mot le parcours de son père et la mémoire qu’elle en a gardée. » (David Lonergan, Magazine littéraire Nuit blanche)  Avec Petits poèmes sur mon père qui est mort, la poète livre un recueil de courts textes comme autant d’instantanés sortis d’une boîte à souvenirs. Dans un style vif, la somme de ces éclats brosse le portrait de celui qui refusait qu’on lui organise un enterrement. La poésie fait ici office de cérémonie, de rituel sacré, et permet d’entamer le deuil d’un père aimé, un père dont on tente de retenir l’essentiel – pour la mémoire et pour le cœur.