C’est au hasard d’une conversation nocturne que jaillit l’idée de ce recueil. Les instigateurs de celui-ci ne sont nuls autres qu'Antoine Declercq, précepteur de la poésie quantique adorateur de variété française et Loïc Meudec, pseudo-dandy s’égarant entre ballades mélodie nelsonienne et 45 tours ringards. À l’instar du nominatif Pot Pourri, ce florilège s’est constitué à partir des cadavres exquis de romances intermittentes et de pensées éphémères.