Le commerce équitable doit se développer pour avoir un impact plus important au niveau macroéconomique.
La politique d’un prix minimum permet, par exemple, de protéger les producteurs d’une crise conjoncturelle.Toutefois, en cas de crise structurelle, ce prix minimum nuirait à ceux qui se trouvent en dehors de ce circuit.
Pourquoi, dès lors, ne pas se pencher sur un système de prix minimum « glissant », tout en mettant en place davantage de projets sociaux et en favorisant la diversification des cultures ?
Sans régler tous les problèmes existants, cela contribuerait à améliorer grandement le marché international.
Journaliste à GHI, hebdomadaire très lu à Genève, responsable de la communication en langue française au WWF suisse, associée à diverses activités de vulgarisation dans le domaine de l’environnement où ses compétences étaient appréciées de tous, Muriel Lardi nous a quittés brutalement en juillet 2008, après avoir mis la dernière main au présent livret. Nous rendons hommage à son énergie, à sa volonté et à son courage.