-FR-
grande couv
Alix 3. Gúrffrúg
Delfiane
Editeur: La Draiglaán Éditions
8,99 €

Acheter ce livre

Perdus, incompris et se sentant abandonnés par les dieux du panthéon des Mohirimm, Mohira, Christobal, Guilhem, Nicolaï et Maximilien devront affronter, pour ce troisième chapitre d’ALIX, leur plus grand ennemi à tous les cinq : leur colère.
Alors que la rédemption est si proche et palpable…
«La racine à laquelle tu t’es accrochée par deux fois près de la chute était ma main, Mohira. Je l’ai tendue vers toi pour t’attraper pour que tu ne tombes pas. Parce que je t’aime.
La même qui tenait fermement les ceintures que ton frère Maximilien avait fixées était les bras de votre grand-mère Maeva. Parce qu’elle l’aime.
J’ai été la corniche qui a surgi promptement de la falaise pour retenir Maximilien de sa chute. Parce que je l’aime.
J’ai également été la voix dans l’oreille d’Hadès lui disant d’aller te chercher et t’amener à Nicolaï pour que tu ne meures pas. Pour que tu ne meures pas, Mohira. Parce que je t’aime.»
Accharion

Le pardon qui les amènera à posséder une confiance totale l’un envers l’autre pour que leur filin divin ne s’effrite jamais.
Vous êtes le plus solide de nos filins composés de cinq brins représentant vos vies, nos racines et nos espoirs. Vos liens son indéfinissables, mais chacun de vous représente un solide fil et celui-ci est directement entrelacé avec les autres. Si l’un se brise, le filin se cassera.