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grande couv
Un chemin de feu : Mère Laurentia Sibien (1891-1943)
Laurentia Sibien
Editeur: Fenixx Réédition Numérique (Téqui)
7,49 €

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Vingt-sept ans dans le monde, élevée dans l’indifférence religieuse des voyages en Égypte, en Italie, en Espagne. Un chemin de feu à Tolède. Du piano, du dessin, Barrès, Ignace de Loyola, les galeries de Notre-Dame de Paris, un mariage à la sacristie. Veuve en août 1914, après seize mois de mariage heureux. Des enfants adoptés. Convertie par le sacrifice de son mari. Vingt-cinq ans en clôture. Des lettres à son amie intime - devenue sa belle-sœur - un filleul de son mari. Des lettres de son directeur de conscience. Juillet 1940 : visites à un camp de prisonniers. Soutenir le moral des femmes de prisonniers. Une soupe à un prisonnier évadé. Des lettres censurées. Des gendarmes allemands en clôture. Quarante et une semaines en Déportation. Evreux, Fresnes (une lettre sur un morceau de toile), Aix-la-Chapelle, Flussbach (près de Trèves), pendant six mois le bréviaire dans la chasse d’eau des WC, la « deux-boutons », une catéchèse sérieuse, Gommern (près de Magdebourg), diphtérie, Mère Laurentia n’a pas été ensevelie avec son costume... « Après avoir été séparée d’elle, j’essayais de faire comme elle ».