Vous convaincre de quoi ? Est-ce encore nécessaire ? J’ai présenté à mes lecteurs sous ce titre « La Préhistoire Nouvelle » 15 tomes en français et en anglais qui ont parcouru (grâce à Internet) le plus possible la planète entière avec des observations de bon sens basées sur l’existant. Puis j’ai essayé d’en faire une synthèse brève et explosive intitulée Préhistoire et Atlantide non numérotée. Il m’a paru néanmoins indispensable de poursuivre par des « réponses » plus structurées (une réédition en somme) les flous qui bloquent toute avancée dans la découverte de notre Passé : notre préhistoire patauge dans des contradictions ubuesques que j’ai relevées à maintes reprises.
Evidemment la Science moderne se refuse à envisager un Passé plus avancé que le nôtre sans pouvoir répondre à toutes les énigmes qu’il nous laisse, et je réponds aux détracteurs dans l’introduction à cet ouvrage.
Notre passé est tout simple : il y a 50 000 ans une première catastrophe fait disparaître une partie du continent appelé l’Atlantide parce que situé dans l’océan Atlantique, suivi d’une deuxième en 28 000 et d’une troisième vers les 10 000. Les conséquences se sont fait ressentir sur des millénaires, migrations dans des conditions extrêmes et régression à l’état sauvage des populations traumatisées, avec extinction d’animaux sauvages du genre Jurassic Parc, bouleversements climatiques et hausse du niveau océanique de 120 à 130 mètres. Vous comprenez que toute civilisation finit par disparaître brutalement, en laissant quelques traces.
Quelques exemples peuvent laisser envisager son niveau de civilisation : la grande pyramide de Khéops, les dessins « professionnels » du style Lascaux, Altamira et Chauvet, les références astronomiques inaccessibles à un Cro-Magnon primaire et bien d’autres observations que j’ai pu relever dans mes ouvrages précédents. J’en ai repris quelques-unes que je vous présente sous une forme plus étudiée. Faites donc un petit saut dans l’orogenèse des Andes et comparez avec ce qui se passe aujourd’hui : si des îles apparaissent avec plus de 25 mètres au-dessus de l’eau en un seul jour, l’exemple des Andes devient tout à fait plausible. Si le lac Titicaca est reconnu comme vestige d’une ancienne lagune, sa formation en altitude – 3812 mètres – est estimée aujourd’hui à plusieurs millions d’années, mais des géologues ont récemment présenté la structure de l’Altiplano sous forme de paliers successifs, démontrant ainsi son élévation très rapide.