Publié en édition française et anglaise, Pervenche Berès a le plaisir de vous faire parvenir le numéro 148 de la Revue d’Économie Financière (REF) titré « Après le Brexit », et co-piloté avec Sylvie Matherat, ancienne directrice générale adjointe de la Banque de France et ancienne membre du directoire du groupe Deutsche Bank.
Réunissant 19 auteurs et riche de 17 articles, dont une rubrique nouvellement créée « Finance et littérature », et une « Chronique d’histoire financière », ce numéro s’articule autour de trois chapitres :
- Pourquoi en est-on arrivé là ?
- Brexit, état des lieux : presque deux ans après la rupture, où en est-on ?
- Que faire ?
Six ans après le référendum qui a décidé du Brexit, ce numéro de la Revue d’Économie Financière propose de faire le point sur l’étendue des évolutions à ce jour, et les différentes perspectives à venir, tant du point de vue du Royaume-Uni que de l’Union européenne.
Ce laps de temps apparaît en effet suffisant, compte tenu en particulier de la neutralisation des années Covid, pour avoir un regard à la fois dépassionné et prospectif sur les changements à attendre.
Après un article général qui replace ce référendum dans son contexte historique et politique et propose une analyse sur les raisons profondes de cet événement, ce numéro s’articule autour des deux grands thèmes suivants : l’énoncé des conséquences économiques, commerciales et financières telles qu’elles se manifestent aujourd’hui et les évolutions envisageables, notamment du point de vue de l’Union européenne qui se doit de reprendre l’initiative sur un certain nombre de sujets sur lesquels le départ du Royaume-Uni marque une rupture certaine.
Ce numéro de la REF permet de faire le constat combien le Brexit, du point de vue économique et financier, a été techniquement géré de manière la plus efficace possible, il expose les enjeux de la définition d’un cadre de coopération optimum alors que tous les dossiers conflictuels des deux côtés de la Manche ne sont pas clos et que chacun va rouvrir des législations qui étaient jusqu’ici identiques.