Nous perdons un temps fou à ne pas être d’accord. Contrairement à ce que l’on imagine, nous ne nous comprenons pas – ou du moins pas suffisamment. Pour savoir parler, les mots et les règles de grammaire ne suffisent pas. Tout particulièrement à l’heure de la communication mondialisée, dans laquelle les frontières entre communication privée et publique d’une part, nationale et internationale d’autre part, sont devenues poreuses.