Il n’est plus temps de croire, il nous faut comprendre.

Les religions, sont-elles de simples superstitions ou nous renvoient-elles à une réalité de notre être qui nous échappe grandement et que nous devons parvenir à appréhender correctement. Tel est le défi relevé par l’auteur. Plus que jamais, dans ces temps troubles, nous avons besoin de comprendre qui nous sommes, d’où nous venons et vers quoi nous allons.

Pour cela il est nécessaire de trouver les bons repères et le fil conducteur qui va nous conduire à soulever le voile.

Notre vie trouve son sens à travers les liens que nous entretenons avec une vie existante dans un au-delà de notre sphère terrestre. C’est parce que nous nous sommes enfermés dans une vision linéaire du temps que notre champ de conscience s’est rétréci. Il nous faut en sortir en intégrant notre réalité cyclique.

Le microcosme composé par l’ensemble des individus de notre humanité et le macrocosme composé par l’ensemble des humanités évoluant au-delà de notre espace terrestre ne font qu’un.

« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut »

Le microcosme et le macrocosme sont en lien permanent. Les cycles de vie de chaque sphère sont imbriqués les uns dans les autres et se déroulent sur le même mode. Comprendre le mode de déroulement du cycle est la clé qui permet d’accéder à la compréhension de la vie dans toutes ses dimensions.

C’est à la découverte de cette réalité subtile que nous convie l’auteur en mettant en évidence le rôle moteur de la pensée.

C’est aussi l’occasion pour l’auteur de dresser un tableau sans concession de notre société moderne en pointant du doigt les causes profondes des crises qui la traversent. Il ne se contente pas de faire un constat. Il nous indique clairement sur quelles bases construire le monde de demain. C’est avant tout un message d’espoir qu’il s’attache à nous donner, car c’est dans l’âge d’or de l’humanité que nous sommes appelés à entrer maintenant.