Le commissaire Garnel n’aurait su dire pourquoi il avait mis dans sa poche cette lettre anonyme au lieu de la classer. Celle-ci avançait que la mort jugée naturelle par embolie de monsieur Mildieu cachait en fait un meurtre.
Le policier ne pouvait non plus expliquer ce qui le poussa à assister aux obsèques de feu Mildieu puis à interroger les proches du défunt ainsi que la concierge.
Par contre, Garnel avait une bonne raison de poursuivre ses investigations après qu’une autre missive le traita de fieffé enquêteur.
Mais si le but était d’identifier et d’arrêter le corbeau, il ne se doutait pas qu’il allait fourrer son nez dans une tragique affaire de famille...