L'imposture du Big Bang
Salomon Borensztejn
Editeur: Books on Demand
Le modèle standard du Big Bang découle, historiquement, de l’interprétation, par Hubble, dans les années 1925-1930, des décalages spectraux des galaxies lointaines en récession et du concept « d’expansion de l’univers ». Depuis près d’un siècle, la théorie du Big Bang tient le haut du pavé, par défaut, aucune alternative à ce modèle n’étant crédible à ce jour. Au fil des décennies, elle s’est transformée en dogme.
Cette théorie doit - elle disparaître ?
C’est ce qu’affirme, dans son livre « L’imposture du Big Bang », un chercheur, Salomon Borensztejn, qui ,depuis bientôt 50 ans, accumule, silencieusement, les arguments et surtout les faits qui apportent la preuve que la théorie du Big Bang est fausse. L’auteur propose une alternative au modèle du Big Bang, le modèle temporaliste, qui interprète le décalage spectral en phénomène quantique et temporel et non cosmologique et spatial, contrairement au dogme régnant. Selon le modèle temporaliste, le décalage spectral est la conséquence de l’asymétrie du temps, autrement dit de l’existence d’une constante temporaliste qu’il a découverte en 1962 et intitulée To, dont la valeur, établie théoriquement, est de 4,5546 10^17 secondes (14,43 milliards d’années). Depuis 1962, la valeur de To n’a plus bougé. To est interprétée, dans la théorie du Big Bang, comme « l’âge » de l’univers. Estimée dans les années 1925-1930 à environ 2 M.A., To a été réévaluée depuis, par des milliers d’observations astronomiques effectuées par de nombreux instituts de recherche et la NASA. Les dernières données de la NASA (WMAP 5 – Table 7 – Cosmological Parameter Summary–2008 ) donnent pour To une valeur proche de celle de la constante temporaliste To, à 2-3 % près c’est-à-dire dans la marge d’incertitude des données.
Partant de prémisses fausses, la théorie du Big Bang ne pouvait qu’accumuler, de façon inéluctable, nombre de difficultés et de concepts spéculatifs invérifiables (comme les théories inflationnaires). L’auteur, après une analyse rigoureuse des différentes « preuves » du Big Bang a pu établir, sans ambiguïté, que ces dernières ne sont, en définitive, que, soit des hypothèses, soit des suppositions soit des interprétations, jamais des preuves. Quant au modèle temporaliste, l’auteur apporte 19 preuves de sa théorie qui sont des faits (effet Pionner, effet Casimir, valeur théorique de la constante de Hubble Ho, rayon de gravitation, origine et nature de la matière noire, etc…).
Il propose des tests permettant de trancher, de façon incontestable, entre les 2 théories.