« Le pont de San Carlos, lieu moult fois témoin de mes états d'âme. Endroit vers lequel j'accourais lorsque j'étais submergé de doutes, lorsque je devais faire le point. À mes yeux, ce pont représentait bien plus qu'une simple construction de pierres et de bois. C'était un refuge, mon refuge. »
Après Voyages d’un Harlequin, l’auteur écrit aujourd’hui la suite de ce roman, mi-aventure, mi-autobiographique : Les voyages d’un clown. À la façon d’un journal, l’univers fantastique de Cesare, balade féerique au cœur des rêves et de la destinée, nous plonge dans un monde de mortels. Notre personnage, ainsi devenu humain, laisse la place au clown Ôtrebla, conteur d’histoires, aventurier philosophe. Au fil de ses rencontres et de ses émotions, au hasard de ses pérégrinations, le petit homme découvre avec stupeur les méandres de l’existence.