Bien avant que les grandes compétitions ne deviennent le terrain de jeu des clubs des pays riches, il appartenait à tous. Non, le sport-roi n’est pas l’exclusivité des nouveaux riches. Avant que l’arrêt Bosman et les réformes successives ne viennent chambouler le semblant d’ordre établi, Hongrie, Roumanie, République Tchèque, Belgique, Portugal, ex-Yougoslavie, Russie, Ecosse, Pays-Bas, Pologne, Suède ou Turquie ont pu titiller les sommets. Des nations où le foot « vrai » prend tout son sens.
Un collectif de spécialistes expose et analyse l’histoire, le présent et se projette sur l’avenir de ces grands pays de football qui font de ce sport bien plus qu’un jeu.