Chloé, contrainte jusqu’alors par une famille bigote, découvre sa vraie nature dans les bras de Géraldine mais les violences l’acculent à la fuite...
[...] Elle pouvait l’admirer en toute impunité, sans craindre d’être surprise par une camarade médisante. Nul besoin de se cacher, de se hâter, de réprimer ses gémissements et de contrôler sa respiration. Elle soupira de contentement alors qu’une idée folle lui traversait l’esprit. Elle glissa légèrement sur le sol puis elle saisit ses fesses et les décolla l’une de l’autre. Le doigt encore humide de ses sécrétions se porta sur les bords du trou qu’elles dissimulaient.
Une minute s’écoula sans qu’elle ne bouge, sans qu’elle tente quoi que ce soit, puis elle pesa de la pointe de son doigt sur l’étroite entrée, mais n’obtint pas le résultat escompté. Certes, celui-ci s’enfonça quelque peu, mais non sans difficulté et douleur.
Ne valait-il pas mieux renoncer ? Ne valait-il pas mieux se cantonner à des plaisirs connus ?
Chloé est prête à tout pour vivre joyeusement son homosexualité. Hélas, la violence des mâles concupiscents fait exploser sa vie d’adolescente.