Le foot, on adore ou déteste. Parfois même, on adore le détester. C’est en tout cas le sport universel par excellence, de Rio à Paris, de Londres à Tokyo, du Caire à Johannesburg. Sans oublier les terrains du dimanche matin, où les amateurs se défoulent pour le plaisir, loin des milliardaires du ballon rond. L’occasion était trop belle, en cette année de coupe du monde, pour passer le sport roi à la moulinette de l’humour décalé.