Trois sœurs, trois Grâces, converties à l’érotisme le plus torride...
[...] Les trois Grâces se composaient de : Marthe, l’aînée, trente-quatre ans, de père italien, Giuseppe, riche diplomate, papa poule. Brune pulpeuse aux yeux noisette, férue d’escalade et de motos. Elle était interne en psychiatrie de l’addictologie dans une clinique privée à Paris, gant d’argent de boxe française...
Sa sœur, Clara, brune extravertie aux yeux émeraude, avait un père allemand, Otto, rentier, colonel d’infanterie en retraite, papa poule. Marathonienne et ceinture noire de judo, la plus jeune, vingt-six ans, officiait comme professeure et chorégraphe de danse classique à l’opéra national de Lyon.
Suzanne, celle du milieu, trente ans, de père norvégien, Markus, capitaine au long cours, actionnaire majoritaire d’une compagnie maritime de fret internationale, papa poule, était-elle aussi une belle brune, mais aux yeux bleu turquoise, adepte du fitness quotidien à haute dose, agrégée de philosophie, professeure en école supérieure de commerce international à Brest, troisième dan d’aïkido. [...]