Cet ouvrage présente les paradoxes des États africains au regard de leurs potentialités qui contrastent avec leur situation de dépendance vis-à-vis des puissances occidentales et des organisations internationales. Il plaide la sortie de ces États des instances de domination, en les conviant à exercer leur souveraineté sur les plans socioculturels, politiques et économiques. L'ouvrage, dans ses grandes lignes, propose que les États africains mènent des politiques publiques « désidéologisées » de la tutelle occidentale et les invite à tirer le meilleur profit de leurs ressources humaines, naturelles et de leurs partenariats.