Budapest, Bakou, Berlin, Kiev, Moscou, Vilnius… Villes traversées, paysages, fiancées ou beautés d’occasion au visage blanc, tremblé, croisées dans une chambre d’hôtel : c’est la vie qui fournit à Guillaume de Sardes les sujets de ses photographies. Vers l’Est tient à la fois du roman photographique et du journal intime. Ici, la création est liée à l’errance et à la quête de soi.