Ce texte propose de réexaminer les relations entre le corpus du management stratégique et les théories de la gouvernance, qu’elles soient disciplinaires ou cognitives, actionnariales ou partenariales. Cet examen conclut à la nécessité de mieux prendre en compte l’évolution de l’environnement mondial des groupes afin de mettre en congruence la complexité croissante des stratégies et des processus de gouvernance, bien au-delà des seuls critères formels dits de « bonnes pratiques ».