Face à une faillite morale inédite tant dans le monde politique qu’économique, les citoyens, les salariés, rejettent massivement la langue de bois et le politiquement correct.

Une ribambelle de concepts à la mode se heurte à la réalité de la vraie vie : qualité de vie au travail (QVT) versus explosion du stress et des burn-out, inclusion et diversité versus fragmentation communautaire qui dresse les uns contre les autres.

L’incapacité de beaucoup de dirigeants à incarner leur mission est pointée du doigt... Leur parole est creuse et insipide. L’époque prend des mots pour des idées et l’art de gouverner est devenu un banal jeu de rôle.

La déliquescence du sens génère un conflit inédit entre un modèle anglo-saxon qui banalise la déshumanisation par l’hyperconsommation et un modèle républicain européen qui essaie d’émerger sur des valeurs humanistes qui placent l’humain au coeur de toutes les ambitions.

Le leadership spirituel, une voie de conquête proposée par Didier Pitelet, met chacun devant ses propres choix de vie et ses responsabilités ! Dans un monde de chaos, seule l’authenticité peut rendre audibles ces choix de vie.

Oui, il est possible de croire en l’entreprise, et de donner envie à tous de croire en l’avenir.