Ce calendrier n’est pas un simple calendrier. Le lecteur bienveillant y trouvera bien sûr de nombreuses erreurs historiques, volontaires ou pas. À lui de découvrir celles qui le sont ou non.
Ne parlons pas du lecteur malveillant, celui-là n’a rien à faire ici.
Au sommet de sa dépression, l’écriture de ce calendrier a servi de thérapie à l’auteur et lui a épargné les coûteux honoraires d’un psy.
Plongez sans appréhension dans ce calendrier, lisez le texte de la date du jour – ou plusieurs jours à la suite.
Et comme disait Julos Beaucarne : « Dans le cadre de la semaine du beau langage, ne disez pas disez, disez dites. »