« ...Il est temps que l’homme plante le germe de sa plus haute espérance. Maintenant son sol est encore assez riche. Mais ce sol un jour sera pauvre et stérile, et aucun grand arbre ne pourra plus y croître... »
Friedrich Nietzsche, dans Ainsi parlait Zarathoustra, nous propose d’aller individuellement et collectivement, vers le Surhomme qui aime la vie, la terre et est toujours gai, joyeux et heureux. Il n’est pas trop tard. À travers une application stricte de la devise de notre république et une interprétation libre de la philosophie nietzschéenne, l’auteur suggère de changer nos mentalités. Pourrait-on regarder le monde autrement pour nous conduire depuis un monde de souffrance primitive à celui de l’amour pour toute l’humanité ? Serait-ce possible d’y procéder à travers le big bang de l’amour, la fraternité, puis les consciences quantiques ?