À partir de la fin du XIXe siècle, la France va être l’un des derniers pays européens à se lancer dans l’étude systématique de ses traditions populaires. Les médecins vont compter au nombre des premiers curieux à recueillir et à publier ces traditions, alors en passe de disparaître.
En Touraine, le premier d’entre eux est Raphaël Blanchard, à travers des articles publiés dans la Revue des Traditions populaires, en 1889-1890. Après son mariage, en 1887, il poursuivra des études de même nature dans une « seconde petite patrie », le Briançonnais (Hautes-Alpes).
Les multiples activités de cette grande figure de la vie universitaire, scientifique et intellectuelle du début du XXe siècle ont retenu l’attention de différents auteurs. Mais son implication dans l’étude des traditions populaires restait méconnue. C’est l’objet de ce livre, qui souhaite ainsi apporter une contribution à l’historiographie du folklore en tant que discipline.
En Touraine, le premier d’entre eux est Raphaël Blanchard, à travers des articles publiés dans la Revue des Traditions populaires, en 1889-1890. Après son mariage, en 1887, il poursuivra des études de même nature dans une « seconde petite patrie », le Briançonnais (Hautes-Alpes).
Les multiples activités de cette grande figure de la vie universitaire, scientifique et intellectuelle du début du XXe siècle ont retenu l’attention de différents auteurs. Mais son implication dans l’étude des traditions populaires restait méconnue. C’est l’objet de ce livre, qui souhaite ainsi apporter une contribution à l’historiographie du folklore en tant que discipline.