Espaces d’étonnement s’éprouve grâce à un espace esthétique et plastique traversé de lignes, sons, formes, pensées.
«?Je fais partie de ceux qui croient que l’espace doit faire éprouver quelque chose d’authentique?» déclare Daniel Libeskind, architecte d’une grande extension contemporaine du Musée juif de Berlin surnommée Blitz, «?l’Éclair?», pour son plan aux coupures et aux angles aigus, tranchants. Il ouvrit en 2001. Le projet intitulé Entre les lignes émane de deux sources d’inspiration : Arnold Schönberg pour son opéra Moïse et Aaron, et Sens unique de Walter Benjamin, œuvres des années trente à Berlin.
Ce contexte engage l’auteure à évoquer, le Bauhaus et Kandinsky.
Puis fuyant le nazisme, le Black Mountain College accueille Anni et Josef Albers. On côtoie John Cage, qui s’intéresse à Eric Satie, Robert Rauschenberg, Merce Cunningham et une partie des avant-gardes à venir.
«?Son et perception sont couplés?» écrivaient Philip Glass et Richard Serra.
La préoccupation du langage et de l’écriture de l’auteure rencontrent celle de Libeskind.
«?Je fais partie de ceux qui croient que l’espace doit faire éprouver quelque chose d’authentique?» déclare Daniel Libeskind, architecte d’une grande extension contemporaine du Musée juif de Berlin surnommée Blitz, «?l’Éclair?», pour son plan aux coupures et aux angles aigus, tranchants. Il ouvrit en 2001. Le projet intitulé Entre les lignes émane de deux sources d’inspiration : Arnold Schönberg pour son opéra Moïse et Aaron, et Sens unique de Walter Benjamin, œuvres des années trente à Berlin.
Ce contexte engage l’auteure à évoquer, le Bauhaus et Kandinsky.
Puis fuyant le nazisme, le Black Mountain College accueille Anni et Josef Albers. On côtoie John Cage, qui s’intéresse à Eric Satie, Robert Rauschenberg, Merce Cunningham et une partie des avant-gardes à venir.
«?Son et perception sont couplés?» écrivaient Philip Glass et Richard Serra.
La préoccupation du langage et de l’écriture de l’auteure rencontrent celle de Libeskind.