« Je n’écris pas pour plaire
J’écris pour faire entendre mon cri
Peu m’importe qu’il soit mélodie ou cacophonie
Si certaines bouches trouvent dans ce cri une sucrerie,
Tant mieux !
Si d’autres y voient du fiel plutôt que du miel,
Tant pis !
Quoi qu’il en soit, mon pari se trouve au seuil de mon espoir. »
Extrait du poème « Lettre à Madame Aïcha Cerutti sur l’espoir »