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grande couv
8 contes érotopornographiques
Balista Barracuda
Editeur: Stylit
5,99 €

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Ces huit contes érotiques ont été ceux qui furent le plus appréciés parmi mes œuvres sur Atramenta. C'est un mélange de passions avec un zest de perversité et de non-conformisme nécessaire pour les rendre intéressants. Je souhaite au lecteur beaucoup de plaisir à la lecture.

Julien et sa mère...

Une mère et son fils. Il a fait des études de médecine en Chine et à son retour, il pratique sur sa génitrice les connaissances acquises et cela déraille.

Mon fils m’a fait cocu

Un père remarié laisse son fils en fin d’adolescence avec sa marâtre sur le lieu de vacances. Comment résout-il ce qui est arrivé.

Je ne voulais pas tromper ma femme avec ma voisine

cette nouvelle est la conséquence à une annonce qui finissait abruptement et j’ai imaginé une suite

Ma mère, cette héroïne au sourire si doux

Le complément d’une histoire où un jeune homme gâté par la nature a un problème qui amène sa mère à lui toucher le sexe et suite à une trahison de son mari, cela déraille.

Quand la chair s’éveille

Une noble espagnole doit partir et elle laisse son fils sous la surveillance d’une amie trop bien intentionnée qui lui ravi sa virginité.

Cocu mécontent appelant la vengeance à la rescousse.

Un représentant marié découvre que sa femme le trompe et après avoir pardonné une fois trouve une solution pour s’en débarrasser définitivement.

Bertrand

un jeune homme est confronté à une famille bizarre, une mère invalide provisoirement, un papa homo qui a sauvé le curé, le vrai père de Bertrand, une tante autoritaire qui essaye de remettre le paternel sur le chemin de l’hétérosexualité, un stage aux USA avec des aventures dans le midelwest

Extrait:

... Tu m’en fais découvrir des choses !

— Et ce n’est pas fini ! »

Docilement, elle se met dans la position indiquée, en lui faisant face. C’est absolument génial par rapport aux baises avec son mari, elle peut aller à son rythme et à sa façon, elle le sent comme elle le veut. « Mais c’est quoi cette main qui, en plus, me caresse mon bouton d’amour, c’est encore meilleur, le polisson, qu’est-ce qu’il me fait découvrir ? Hum, c’est bon, je sens que je vais partir, je vois les étoiles dans le ciel et les étoles sur l’autel de mon plaisir ». « Ces putains d’appartements modernes, ils n’ont pas de rideaux, mais que des stores, tant pis, c’est plus dur, mais je suis bien obligée d’y grimper, vu la fournaise qui occupe ma chatte et ses petits (accotés), enfin le proverbe dit que plus c’est dur, meilleur c’est ».

« Je viens, je décolle, je plane je sens les portes du paradis sexuel s’ouvrir, les anges m’accueillent, mon ventre est complètement taraudé de plaisir! »

Épuisée par tant de bonheur qu’elle n’a jamais connu, elle s’écroule, se désemmanche de son bâton de plaisir.