Bon nombre d’activités physiques, bien que n’étant pas sportives, sont aujourd’hui invitées à le devenir pour répondre à l’air du temps de la performance. La gratuité semble avoir disparu de nos imaginaires. Nos existences ne sont-elles pas contaminées par la sportivation de l’ensemble de la société ?
C’est avec une argumentation des plus convaincantes que l’auteur appelle ici de ses vœux à l’émancipation de l’individu face à l’esprit compétitif et concurrentiel en repensant notre système éducatif et nos existences hors du champ de la sportivation.