Quel meilleur vecteur que le vent pour transmettre et animer corps, âme et esprit, que ce soit le vent des poèmes de Clara Kastler ou le vent espéré du photographe Gilbert Garcin ? Mais le vent toujours, dans ses effets évocateurs, suggéré par le préfacier Pierre Lemarquis, qui « nous donne de la musique à entendre à la lecture [des] poèmes ».L’auteur nous dit : « Mon intention est de transmettre au lecteur mes sensations musicales, visuelles, et les émotions qui ont peuplé une partie de ma vie. À mes oreilles, le non-dit est évoqué par l’écriture et l’indicible par la musique. Ce recueil tente de les exprimer en mêlant le fruit des mots et la couleur des sons au rythme du texte et des tableaux. »