Dans cet essai, l’auteur témoigne de sa perception des comportements des vivants : végétaux, animaux et humains.
En trois parties, il décrit les comportements prédateurs et coopérateurs, principalement chez les humains, tels que patriarcat, religions et croyances, esclavagisme, racisme, servage, colonisation et capitalisme. Pour chacun de ceux-ci, suivent leurs opposés, respectivement : féminisme, athéisme ou non-croyance, abolitionnisme, bienveillance ou empathie, citoyenneté, souveraineté ou indépendance et socialisme.
Prenant en compte la situation actuelle de la vie sur notre planète, il conclut sur : que faire ? Pour que s’arrête le mal-être actuel du vivant et pour que progresse alors le mieux vivre ensemble entre végétaux, animaux et humains.