Depuis 1960, le Sénégal peine à tirer un bilan positif de son indépendance. En plus de 63 ans, les différents chefs d’État n’ont pas réussi à impulser une véritable dynamique de développement.
Toutefois, un chemin si étroit existe, incontournable pour éviter le pire et accomplir le meilleur d’ici 2050. Son fondement réside sur quatre priorités et des recommandations que le prochain chef de l’État devra s’approprier et mettre en action en l’espace de 18 semaines après son élection, équivalent à 4 mois et 12 jours (ouvrables).
Ces recommandations ont été élaborées de façon libre et ont reçu ensuite l’approbation d’experts, de polytechniciens, de professeurs, de docteurs et de chefs d’entreprise au cours d’une période de près de deux ans.
Bienheureuse soit la population sénégalaise si un homme courageux, érudit, doté de compétences techniques solides, ayant une grande vision et une motivation sincère, s’embarque sur ce chemin pour mener le Sénégal vers son apogée.
Toutefois, un chemin si étroit existe, incontournable pour éviter le pire et accomplir le meilleur d’ici 2050. Son fondement réside sur quatre priorités et des recommandations que le prochain chef de l’État devra s’approprier et mettre en action en l’espace de 18 semaines après son élection, équivalent à 4 mois et 12 jours (ouvrables).
Ces recommandations ont été élaborées de façon libre et ont reçu ensuite l’approbation d’experts, de polytechniciens, de professeurs, de docteurs et de chefs d’entreprise au cours d’une période de près de deux ans.
Bienheureuse soit la population sénégalaise si un homme courageux, érudit, doté de compétences techniques solides, ayant une grande vision et une motivation sincère, s’embarque sur ce chemin pour mener le Sénégal vers son apogée.