Poème de la douce-amère
Yaël Cange
Editeur: Editions L'Harmattan
Où se trouve le livre, se trouvent aussi le chemin, les mots. Des mots faits de plumes, de roulades et de sang pour mieux en appeler à la douce-amère :
Noune ! C’est son nom. Venue jadis des bas-fonds de Séville…
Si l’autrice s’adresse à elle, c’est qu’elle lui devient, pas après pas, « le ruisseau », « le temps », « le rêve ».
Autant d’images qui la hantent comme nous hante ce qui fut ! – et qui n’a pas été.
Lieu de mémoire à la fin, où la voix, se voulant désormais de tendresse – dira, non sans regret, combien la vie aura passé sans elle.