Dans un entretien repris dans le journal des Echos du 23/02/1999 Cess Van Lede, PDG d'Akzo Nobel, insiste sur : « la réduction de l'endettement du groupe par une politique de restriction d'investissements et de cessions ». Cette décision était attendue, c'est bien en raison de la dégradation financière du groupe que le bénéfice net de l'entreprise a baissé de 17%.
De même, Michel Bon ex-PDG de France Télécom précisait au sein du même journal (Les Echos du 07/12/2000) que la mise en bourse d'Orange permettrait à l'entreprise de réduire son endettement afin que celui-ci soit à un « niveau comparable à celui de 1999 ».
Ces deux exemples mettent en lumière l'importance de l'endettement dans la politique de création de valeur de l'entreprise.