ENQUÊTE SUR UN SUJET TABOU : L'ENSAUVAGEMENT D'UNE NATION
Chaque jour en France :
2860 violences physiques
dont 360 avec arme
660 violences sexuelles
dont 300 viols et tentatives
Dans la Manche, un clandestin est jugé pour viol et agression sexuelle sur deux jeunes filles. Un « prédateur » pour la police, des « difficultés d'interprétation » selon son avocate. La cour estime que le prévenu n'a pas eu « conscience d'imposer un rapport sexuel ». Il ne mettra pas les pieds en prison. Pourquoi notre société protège-t-elle les criminels ? Dans notre pays, on agresse des pompiers à coups de marteau. On lynche des flics devant leurs enfants. On viole des enfants de quatre ans au parloir des prisons. On joue du poignard dans les écoles et les hôpitaux. On assassine des Chinois parce qu'ils sont chinois, et ça ne coûte pas plus de deux ans ferme. On trouve normal que ce soit aux victimes de « prendre leurs précautions ». On trouve normal de criminaliser l'inquiétude des honnêtes gens. On trouve normal que trois millions de femmes se disent harcelées dans la rue, qu'à peine 1 % des violeurs soient un jour condamnés, que le terrorisme soit devenu la « préoccupation principale » des Français, et qu'il soit interdit d'évoquer l'impressionnante part de criminalité liée à l'immigration. Et pendant ce temps-là, les féministes évoquent des trottoirs « pas assez larges », les antiracistes traquent les « amalgames » et dénoncent le « racisme systémique », nos responsables votent des « plans banlieue », disent l'urgence de développer les « peines alternatives », et lâchent des ballons contre le terrorisme.
Alors, pourquoi ce livre ?
Parce que ne pas punir les coupables, c'est condamner les innocents.
Parce qu'il est temps de regarder notre société en face.
Parce que nul n'est censé ignorer la réalité.
Livre au retentissement international, La France Orange Mécanique est le premier best-seller de Laurent Obertone, né en 1984, essayiste et romancier à succès, diplômé d'histoire, d'anthropologie et de journalisme